TÉMOIGNAGES – Partis hors de nos frontières, ils sont testés positifs et sont astreints à un isolement inattendu parfois dans des conditions très particulières.
Les vacances en période de pandémie ont leur lot de surprise. Marie, qui devait passer cinq jours en Sicile, en sait quelque chose. La coupure méditerranéenne tant attendue de plage et de soleil a viré au cauchemar, après le test antigénique de rigueur à l’aéroport, le jour du retour : positif ! Vingt jours et deux autres tests plus tard, Marie est toujours bloquée à Vittoria. Enfermée entre quatre murs, asymptomatique, elle ronge son frein en attendant un résultat négatif, précieux sésame pour rentrer au pays. «J’ai tout fait pour éviter l’hôtel, j’ai eu de la chance», reconnaît la jeune fille qui a fait bouger son réseau pour trouver accueil chez des amis d’amis. «Mais sans climatisation et sous 39 degrés, être enfermée est un vrai supplice. Quant à appliquer les recommandations sanitaires, tout nettoyer à la javel et faire régulièrement des machines, cela relève du défi alors que la poussière envahit la pièce dès qu’on ouvre une fenêtre !» affirme-t-elle.
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Car la règle en
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