FOCUS – La police scientifique a ouvert son concours d’entrée lundi 2 août. Quels sont les profils recherchés et qu’est-ce qui attend les nouvelles recrues ?
La police scientifique vient d’ouvrir lundi 2 août son concours* pour intégrer de nouvelles recrues dans ses rangs. Ce sont 94 places qui sont ouvertes aux jeunes intéressés par la science et le domaine de l’enquête, dès le niveau post-bac. Si le grand public se fait une idée du métier à travers les séries du petit écran, quelle est vraiment la mission d’un policier scientifique ? Comment travaille-t-il et quels sont les profils recherchés ? Le Figaro fait le point avec le Commissaire Pierre Pascaud, porte-parole du service national de police scientifique, ainsi que du technicien en chef Christophe Abraham, qui évolue dans le domaine depuis 12 ans.
Lire le dossier :Les grandes premières de la police scientifique
Être technicien de la police scientifique, c’est avant tout «un métier passion», commence Christophe Abraham. Comme beaucoup, il a découvert ce métier dans les séries télé. Mais c’est en fac de biologie qu’il a décidé de s’y intéresser pleinement, voyant certains de ses camarades tenter le concours. Après avoir réussi l’épreuve d’entrée
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